vendredi 6 février 2015

RACHIANESTHÉSIE CONTINUE
· La rachianesthésie continue permet l'utilisation de doses réduites d'anesthésiques locaux.
· Les doses réduites d'anesthésiques locaux employées lors de rachianesthésies continues favorisent la stabilité hémodynamique.
· Certaines règles doivent être respectées afin de réduire la probabilité de problèmes neurologiques associés.
· Il faut éviter que les cathéters rachidiens ne se dirigent en direction caudale, pour cela, il est préférable d'insérer les cathéters par le biais d'aiguilles directionnelles du type Sprotte et de limiter l'entrée à 3 cm.
· Éviter les solutions hyperbares et trop concentrées (la bupivacaïne 0,125 à 0,5 % est particulièrement recommandée).
· La dose initiale de solution anesthésique ne doit pas dépasser celle utilisée dans une technique simple ; en cas de bloc avec étendue insatisfaisante, la technique doit être abandonnée.
· Bien que prometteurs, les montages de type cathéter sur aiguille n'ont pas encore fait la preuve de leur supériorité.

insuffisance surrénale
Il s’agit d’affections relativement rares, dues au déficit total ou partiel des secrétions corticosurrénaliennes. Selon le degré du déficit et la rapidité d’installation du trouble, on distingue les insuffisances surrénales lentes, responsables de manifestations chroniques, et les insuffisances surrénales aiguës qui peuvent être mortelles en l’absence de diagnostic et de traitement précoces. Toute insuffisance surrénale lente est susceptible de se compliquer d’insuffisance surrénale aiguë.
Selon le niveau du trouble, surrénalien ou hypophysaire, on distingue :
  • L’IS d’origine surrénale : insuffisance surrénale
  • L’IS d’origine hypothalamo-hypophysaire : insuffisance corticotrope
prevention des maladies thrombo-embolique veineuses
La MTE est une maladie fréquente. On estime à environ 600 000 le nombre de cas annuels de MTE aux États-Unis, dont 30 % entraînent un décès, et 250 000 TVP. En France l'incidence annuelle de la MTE est de l'ordre de 50 à 100 000 cas responsables de 5 à 10 000 décès.
La MTE présente un risque immédiat potentiellement vital qui est l'embolie pulmonaire. À long terme, les risques sont le développement d'une maladie post-thrombotique et plus rarement l'évolution vers une pathologie pulmonaire chronique.
La MTE présente une mortalité et une morbidité importante. Elle est un vrai problème au regard de la santé publique. Ainsi :
  • 30 % des patients présentent une récidive à 8 ans
  • 30 % gardent des séquelles de type de maladie post-phlébitique
  • 30 % se compliquent d'embolie pulmonaire (diagnostic scintigraphique)
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